A l’apéritif
Côté amuse–gueules :
Le piège :
La diversité des petits délices à grignoter ! On a envie de tout goûter et au moment de passer à table, on n’a déjà plus faim !
L’astuce :
- On vise d’abord les légumes : crudités, dips, tapenades de légumes, mousses etc.
- On choisi les poissons, mollusques et crustacés, un peu plus caloriques que les légumes mais tellement riches en oligo-éléments et en bonnes graisses !
- On délaisse les biscuits et cacahuètes classiques (que l’on peut retrouver tout le reste de l’année) et on se réserve pour les mignardises faites maison. En plus cela fait plaisir à notre hôte.
- On sélectionne ce qui nous paraît raisonnable en qualité et en quantité, on le met sur une petite assiette ou une petite serviette et on ne se ressert pas. Il n’y a rien de pire que de passer tout un apéro avec une main distraite qui plonge dans le bol de chips : le bol se vide sans même que l’on ne s’en rende compte et bonjour les dégâts le lendemain !
Côté boissons :
Le piège :
Cocktails, apéro, vin à table et petit pousse-café (même si ce dernier tend à disparaître de nos habitudes), l’addition est lourde côté calories !
L’astuce :
- 1 verre pas plus à l’apéro, de préférence un vin sec (pétillant). On évite les cocktails surchargés en sucre et en alcool.
- A table, on alterne 1 gorgée d’eau, une gorgée de vin ou 1 verre d’eau, 1 verre de vin afin de boire de l’eau pour se désaltérer et de garder le vin en dégustation.
- Les boissons sucrées sont, elles, comme toujours très caloriques et ne sont pas prises en compte par notre cerveau pour le calcul des calories totales. Résultat : des calories liquides supplémentaires et la faim qui est toujours là !
Le repas :
Le piège :
Des mets exceptionnels, on les mangerait jusqu’à la dernière miette !
L’astuce :
Le plaisir gustatif et les saveurs s’estompent au fil des bouchées. Rien ne sert donc de se gaver pour profiter d’un repas d’exception :
- On se concentre plutôt sur les délices des premières bouchées qui sont les plus savoureuses.
- On hume les parfums, on admire l’assiette et on mâche lentement.
- On s’arrête avant la fin de l’assiette pour vérifier où en est notre satiété et s’il est nécessaire de terminer son assiette, de se resservir ou non.
Si on est aux fourneaux :
On a la chance de décider du menu.
Misez sur les légumes et donnez-leur un esprit de fête en utilisant des épices et condiments uniques : truffe, grains de caviar, combava, yuzu, safran, copeau de foie-gras ou encore les plus classiques : gingembre, citronnelle, coriandre.
Avec les ingrédients caloriques, faire du volume, c’est la bonne astuce, on a l’impression d’en avoir beaucoup : copeaux de parmesan, de foie gras (très très froid), mousses et émulsions (on introduit de l’air) à la place des sauces.
Zakouskis chéris :
Les verrines sont nos amies !
On y verse un gaspacho, un velouté, un tartare de légume ou de poisson, une crème ou une panna cotta de légumes, un houmous…
Les recettes ne manquent pas, surtout du côté végétarien que je me permets souvent d’agrémenter d’une touche plus carnivore comme un chips de lomo ou quelques pluches de bonite !
Idée recette :
Verrine de St Jacques, pommes & noix (apéritif)
Ingrédients : (pour 4 personnes)
- 4 noix de St Jacques très fraîches
- 1 pomme Jonagold ou Granny Smith
- 4 cerneaux de noix
- Quelques brins d’estragon
- 2 càc de yuzu
- 2 càc d’huile de noix
- fleur de sel
- Poivre Timut
Réalisation :
- Laver les pommes, garder la peau et les tailler en brunoise.
- Assaisonner de suite de jus de yuzu pour éviter que les pommes ne brunissent.
- Ciseler l’estragon.
- Hacher les noix.
- Prélever des coquilles les noix de St Jacques et bien les rincer.
- Hacher la chair au couteau.
- Mélanger tous les ingrédients et assaisonner d’huile de noix, de fleur de sel et de poivre Timut.
- Servir bien frais.
Le petit mot de Chloé :
Des oligoéléments marins, des omégas 3, des fibres, tout ça dans une verrine savoureuse qui allie gourmandise et bonne santé 😉
Partagez et Likez !
N'hésitez pas à nous laisser un petit mot!